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    LE GRAND FESTIVAL INTERCELTIQUE DE LORIENT 2017

    c'est durant toute cette semaine

    c'est magnifique !

    L'Ecosse est à l'honneur cette année

    c'est très émouvant

    Et vive la Bretagne !!

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    Tu sais que tu es breton ou bretonne si...


    -Tu sais qu'en Bretagne aussi il y a du soleil.

    -Tu sais que la mer est nulle part aussi belle !

    -Tu arrives à te baigner dans une eau à 17 degrés en disant aux autres qu’elle est bonne.

    -Tu es le seul à apprécier le vent, la pluie et surtout les tempêtes avec leurs énormes vagues qui se fracassent sur les rochers ...

    -Tu sais ce que veut dire l’expression "T’es pas en sucre !"

    -D'aller à la mer, ça n’a rien d’extraordinaire, c'est jamais à plus d'une heure de route de toute façon...

    -Tu vérifies avant d’aller te baigner à quelle heure « Elle est haute ».

    -Pour toi, se faire réveiller par le cri des mouettes, ça n'a rien d'exotique ou ça ne sent pas les vacances.

    -Tu sais que l’on ne parle pas de la même pluie selon que l’on dise qu’il « crachotte » ou qu’il « pleuviotte » (soit dit en passant, en Bretagne, il ne pleut que sur les cons...).

    -L’été dès qu'il pleut, tous les touristes (parisiens surtout) mettent des cirés Cotten jaune avec des bottes et toi tu es en short...

    -Une tempête pour un parisien, c'est une brise pour toi.

    -Tu grognes devant la météo et surtout devant le présentateur qui dit « en Bretagne ENCORE de la pluie ».

    -Tu ne trouves pas que les noms de ville en Plou-quelque chose, c'est barbare ou rigolo.

    -La moitié des gares de ton coin sont des gares terminus - la preuve que Paris n’a rien inventé.

    -Pour toi, faire des crêpes ça ne s’arrête pas au Mardi-gras.

    -Tu sais que si tu goûtes une fois à la crêpe au caramel au beurre salé, tu ne regarderas plus ta crêpière de la même façon.

    -Tu sais ce qu'est une galette, et que les 'crêpes salées' c'est presque un sacrilège.

    -Une crêperie bretonne hors de la Bretagne ça te fait peur.

    -Tu sais que le vrai cidre, c'est du brut, et que c'est un des rares trucs que les normands savent faire.

    -Tu sais que le meilleur cidre, c'est celui qui à l'aspect le plus dégueulasse.

    -Pour toi, le chouchen ce n'est pas très fort.

    -Il ne te viendrait pas à l’idée de prendre du poids sans que cela ait de goût (autrement dit, manger du beurre pas salé).

    -Tu sais que tout marché qui se respecte vend des galettes saucisses et se finit par un Kouign amann..

    -Tu sais que les Gras de Douarnenez ne sont pas des morceaux de lard !

    -Tu n'as pas besoin de vérifier la signification de Gwenn ha du dans Wikipédia.

    -Tu mets des « donc » à chaque coin de phrases.

    -Tu parles en moyenne trois fois plus vite que la moyenne des français en coupant les fins de phrase en -ble (ex :impecab’).

    -Tu utilises régulièrement des expressions comme : prendre les ribines, aller en riboul, avaler des louzoux, avoir les cheveux qui partent en distribil ou à dreuz, marcher dans le lagen, sers moi un coup de gwin ru, da gousket bihan, à bloc Jean (Le)Floc'h, impec Lagadec et l’incontournable YEC'HED MAD !

    -Tu sais que baragouiner vient de « bara gwin » (du pain et du vin).

    -Tu sais que les briochines ne sont pas une marque déposée de chez Pasquier.

    -Tu sais ce que signifie les mois en « -bre ».

    -Tu sais qu'une goélette ce n'est pas le petit du goéland.

    -D'ailleurs tu sais faire la différence entre la mouette et le goéland.

    -Tu sais que partout où tu iras dans le monde tu trouveras des compatriotes.

    -Tu sais ce que c'est qu'un biniou ou une bombarde ou encore un cercle ....

    -Tu sais ce que c’est qu’une école Diwan.

    -Tu dis des festou-noz et non pas des fest-noz car oui le breton a un pluriel.

    -Le Fest-Noz c'était un peu ton bal des pompiers à toi.

    -Tu ne doutes pas que dans Ille et Vilaine, « Ille » prend 2 L.

    -Tu sais que la Cornouaille c’est pas qu’en Angleterre.

    -Tu sais d’où vient Merlin l’enchanteur.

    -Tu sais ce que c’est qu’un korrigan.

    -Tu sais que la chanson 'la tribu de Dana' n'est pas une traduction de l'original d'Alan Stivell, mais alors pas du tout.

    -Les gens te demandent toujours si tu parles breton, alors qu'en fait le seul mot qui te vient à l'esprit c'est toujours kenavo.

    -Tu râles tout le temps sur ta région mais quand tu la quittes tu clames haut et fort ta fierté bretonnante.


    Alors breton ?


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    La délimitation entre la Manche et l'Atlantique

     

     

     

    Ligne de démarcation géographique entre la Manche et l'Atlantique


           

    Pointe de Corsen

    Considérée comme la frontiète théorique entre la Manche et l’Océan Atlantique, la pointe de Corsen est le point le plus à l’Ouest en France (en dehors des îles du Ponant bien sûr). Paysages sauvages, alternant falaises couvertes de prairies, zones rocailleuses et plages de sable blanc. Si le nom de cette pointe vous rappelle quelquechose, c’est sans doute le Cross-Corsen, plus grand sémaphore de Bretagne, chargé de la coordination des opérations de sauvetage et de la surveillance du trafic sur le rail d’Ouessant. A noter à proximité de la pointe la présence du phare de Trézien, dont l’originalité tient dans son emplacement à l’intérieur des terres, à un bon kilomètre du rivage … Belle vue évidemment sur Ouessant et surtout Molène, qui paraît bien proche de la pointe …

    source : https://www.terresceltes.net/bretagne/lampaul-plouarzel

     

    Résultat de recherche d'images pour "pointe de corsen"

    source photo : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Pointe_corsen2.jpg

     

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    Photos du net

     

    une petite chanson pour terminer cet article

    CORSEN


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    Svp, lire ce poème en écoutant la musique 

    Bretagne

    José-Maria de Heredia

    Pour que le sang joyeux dompte l’esprit morose,
    Il faut, tout parfumé du sel des goëmons,
    Que le souffle atlantique emplisse tes poumons ;
    Arvor t’offre ses caps que la mer blanche arrose.

    L’ajonc fleurit et la bruyère est déjà rose.
    La terre des vieux clans, des nains et des démons,
    Ami, te garde encor, sur le granit des monts,
    L’homme immobile auprès de l’immuable chose.

    Viens. Partout tu verras, par les landes d’Arèz,
    Monter vers le ciel morne, infrangible cyprès,
    Le menhir sous lequel gît la cendre du Brave ;

    Et l’Océan, qui roule en un lit d’algues d’or
    Is la voluptueuse et la grande Occismor,
    Bercera ton cour triste à son murmure grave.

     

     Poésie : Bretagne

     

    l'une de mes photos que j'ai un peu transformée...

     

     


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    Signification du drapeau Breton

     

    Image associée

    Le drapeau BRETON: "GWENN HA DU"

      C'est en 1188 que furent attibuées aux armées des croisés, d'accord avec la papauté, des couleurs distinctives selon la nationalités. A la nation bretonne fut attribuée une croix noire sur fond blanc ( de sable sur champ d'argent). Dés lors, l'étendard blanc à la croix noire devint le pavillon de la marine bretonne et le drapeau des armées bretonnes et le restera jusqu'en 1316, date à la laquelle le duc Jean III le remplaça par un étendard d'hemine plain.

      En 1923, un étudiant en architecture, Morvan Marchal, proposa un drapeau breton plus moderne, le Gwenn ha Du  Blanc et Noir, composéde 9 bandes alternées noires et blanches.

      - 4 bandes blanches représentant les évéchés de Basse-Bretagne soit pour

    la Cornouaille, le Leon, le Trégor et le Vannetais.

      - 5 bandes noires représentants les évéchés de Haute-Bretagne soit pour

    les Pays Nantais, Rennais, de Saint-Brieuc, de Saint-Malo et de Dol.

      L'angle de doite est constitué d'Hermines. Il y en a 11, cependant leur nombre n'a pas de signification particulière.

      C'est lui qu'on voit aujourd'hui flotter sur les monuments publics en BRETAGNE.

    Mais le drapeau Breton n’a pas toujours été celui-ci, autrefois il s’appelait  Kroaz du

    Le drapeau surnommé Kroaz du, dont le nom signifie « croix noire » en breton, aurait été l'un des drapeaux utilisés par les Bretons  au Moyen Âge. Avec les bannières ducales, ce serait l'un des plus anciens drapeaux bretons connus.

    Certains auteurs récents attribuent son origine à la Troisième croisade (1188).

    Lors de la première croisade, le basileus Alexis Ier Comnène fit tailler dans ses manteaux de pourpre des croix rouges qu'il fit distribuer aux pélerins afin qu'ils puissent traverser l'empire byzantin sans encombre. Cette croix fut rapidement arborée par les Croisés. Suivant la tradition, en 1098, à la bataille d'Antioche, les chrétiens ont été aidés par des armées angéliques vêtues de blanc et chevauchant des chevaux blancs. Leurs bannières, que les Croisés ont reproduites, étaient blanches avec des croix rouges.

    Lors de la troisième croisade, le 13 janvier 1188, une conférence à Gisors entre le pape, les rois d'Angleterre et de France ainsi que le comte de Flandre, décida d'attribuer une croix par nationalité afin de distinguer les nations. La France prit la croix rouge sur un drapeau blanc; les Anglais eurent la croix blanche sur fond rouge ; les Flamands la croix verte sur un drapeau blanc. Par la suite, les Bretons auraient pris la croix noire et les Italiens la croix jaune, peut-être à la fin du XIIe siècle et le début du XIIIe siècle, peut-être en 1236-1237 quand le pape Grégoire IX fut pressentit comme chef de la future croisade. Cependant, il n'existe aucun texte, ni iconographie de l'époque permettant de l'affirmer.

     


    L'usage de la croix noire est attesté au siècle suivant, comme le montre une enluminure du manuscrit Compillations de Cronicques et Ystores des Bretons illustrant le combat des Trente[4], cette enluminure est une reproduction du drapeau, réalisée a posteriori, et la croix de cette reproduction est représentée avec des branches qui ne touchent pas les bords.

    Il était arboré par les navires bretons qui sillonnaient les mers. Les différents portulans le figurant l'associent à des mouchetures d'hermine, symbole des ducs de Bretagne. Après 1532 des variantes de ce pavillon sont encore utilisées par la marine, en particulier par l'Amirauté. Il est modifié et on voit apparaître un filet noir (resarclé). L'Amirauté est abolie par Richelieu en 1626, puis rétablie par Louis XIV, puis abolie de nouveau à la Révolution française en 1789. Les rois de France, qui lui reprochaient de trop rappeler l'État breton, le remplacèrent par la bannière herminée, au moment de la perte de l'indépendance bretonne. La bannière herminée fut elle même supplantée par le Gwenn ha du, nom du drapeau moderne de la Bretagne.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, il fut utilisé, sous la forme qu'on lui connaît aujourd'hui, c'est-à-dire sans moucheture d'hermine, par des pro-allemands et notamment le Bezen Perrot. Il a été réhabilité dans les années 1990 et on le voit parfois utilisé dans le milieu maritime par le biais des fédérations pour la culture maritime et des associations regroupant les voiliers traditionnels. Sa renaissance ne se limite pas au domaine maritime mais s'étend aussi au domaine terrestre, notamment avec les bagadoù qui se dotent de ce drapeau ou de variantes basées sur le Kroaz du.

    Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kroaz_du

     

     

    HYMNE NATIONAL BRETON

     

    Broz goz ma zadou

    Vieux pays de mes péres

     

    Ni, Breiziz a galon, Karomp hon gwir Vro !

    Brudet eo an Arvor dre ar bed tro-dro.

    Dispont kreiz ar brezel, hom zadou ken mad

    A skuillaz eviti o gwad.

     

    Nous, Bretons de coeur, aimons notre vrai pays !

    Renommée est l'Armorique à travers le monde, d'un bout à l'autre.

    Sans peur au milieu de la mélée, nos péres si vaillants

    ont répandu pour elle leur sang.

     

    Diskan.

    O ma Mam-Vro ! Me gar ma Bro.

    Tra ma vo mor ' vel mur 'n he zro

    Ra vezo digabestr ma Bro !

    Ra vezo digabestr ma BRO !

     

    Refrain.

    O ma mére-patrie ! J'aime mon pays.

    Tant que la mer l'enveloppera comme d'un rempart,

    Puisse-t-il porter le front libre, mon pays !

     

    Breiz, douar ar Zent coz, douar ar Varzed,

    N'eus bro all a garen kement 'barz ar bed.

    Pob menez, pob traouien d'am c'halon zo ker :

    Enne kousk meur a Vreizad ter.

     

    Bretagne, terre des vIeux saints, terre des bardes,

    Il n'y a pas de pays que j'aime autant au monde.

    Pas une de ses montagnes, pas une de ses vallées qui ne soit chére à mon coeur:

    Elles recouvrent le sommeil de plus d'un Breton indompté !

     

    Ar Vretoned a zo tud kaled ha Krenv ;

    N'eus pobl ken kalonek a-zindan an env.

    Gwerz trist, zon dudius a iwan eno.

    O pegent kaer ec'h out, ma bro !

     

    Les bretons sont une race dure et forte ;

    Il n'y a pas de peuple plus courageux sous le ciel.

    Chez eux poussent les complaintes tristes et les chansons melodieuses 

    Oh ! que tu es beau, mon pays !

     

    Mar d'eo bet trec'het Breiz er brezelliou braz,

    He iez a zo bepred ken beo ha biskoaz ;

    He c'halon birvidik a lamm c'hoaz 'n he c'hreiz

    Dihumet out brema, ma Breiz !

     

    Si la Bretagne a été vaincue dans les grandes guerres.

    Sa langue est toujours aussi vivante que jamais ;

    Son coeur impétieux bondit encore dans sa poitrine.

    Reveillée, tu l'es désormais, ô ma Bretagne !

     

    JAFFRENNOU-TALDIR

     

     

    Ces strophes dont l'auteur, pour les paroles comme pour la musique, s'est inspiré d'un chant Gallois, ont été promues au rang  d'hymne national par les Bretons d'aujourd'hui: Il n'est guére de cérémonie privée ou publique où on ne les entonnes en choeur avant de séparer.

    Nous les publions à ce titre et aussi pour que la langue bretonne fasse entendre ici quelques-uns de ses accents.

    Source :  http://letriskel-celtique.com/hymne-national-breton/

     


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